La complicité de Thomas Guibert et Jérémy Teulade ne date pas d’aujourd’hui, il faut rappeler que le guitariste et le contrebassiste multiplient les occasions de jouer ensemble depuis 15 ans, période à laquelle le Bignol Swing commençait à conquérir la Nouvelle-Aquitaine. Qu’à cela ne tienne, le pianiste Adrien Cabioch les a rejoints dans cette toute nouvelle aventure.

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Mélangeant le mot « jive », un terme d’argot américain synonyme de swing et de baratin ; et le mot « machine », en dédicace à Zouk Machine, mais ça c’est une autre histoire, le nom du Jive Machine Trio était trouvé.

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S’inspirant des grands trios du genre, de Nat King Cole à Diana Krall, en passant par Ron Carter et John Pizzarelli, ils entremêlent le piano, la guitare, la contrebasse et leurs trois voix en arrangeant à leur propre sauce.

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Les trois compères rendent donc visite à Nat King Cole (Hit That Jive Jack, Straighten Up And Fly Right, It’s Only A Papermoon, Save The Bones…), à Chet Baker (But Not For Me, It Could Happen To You, Everything Happens To Me…), à Franck Sinatra (You And The Night And The Music, Embraceable You…).

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Leur valise est de taille et ils entendent bien voyager en public à travers leurs coups de cœurs,  qu’ils soient brésiliens (Sonho Meu, Triste), anglo-saxons (The Beatles, Queen), cinématographiques avec la Valse d’Augustine de Vladimir Kosma, ou créoles avec un clin d’œil au répertoire zouk qui ne manque pas de surprendre.